Journal aléatoire saison 11

Tu peux comprendre ça ?


Ce coucher de soleil
indéfectible
par sa quotidienneté
sa magnificence
sa liberté de droits
amène parfois
des larmes à mes yeux

Un soir de novembre


Mon très cher plus vieil ami,

Quel bonheur de t’entendre, en tendre, de savoir que tu me lis, avec plaisir. Bonheur d’avoir trouvé cette façon d’être avec toi dans cette redoutable épreuve. De rester proche.
Tout mon parcours depuis que je suis partie de chez mes parents est déterminé par cette rencontre.
1978, j’ai dix-sept ans et je ne suis pas bien sérieuse. Je suis un peu grave, c’est ma nature, mais pas sérieuse. Je suis naïve, je vis dans les livres et dans mes rêves. Je crois avoir un destin, je suis le vent. lire plus…

Notre ciel (6)

De temps en temps
un arc-en-ciel
renouvelle notre foi
en l’enfance
de l’art

Journal aléatoire saison 10

Bonus