De la quadrature de l’éphémère
Je me répète
je sais
comme se répètent chaque printemps
ces champs de coquelicots
le sublime de l’ordinaire
qui me chavirent les chakras
Ce n’est pas rien ce sentiment chaque printemps
d’effleurer
le sens de la beauté
libre, sauvage, imprévisible
donnée