La parole est une caresse.
Physiologiquement, on a besoin de l’autre pour devenir soi-même.
Le doute est un facteur de progrès.
Monsieur Cyrulnik, ICI
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La parole est une caresse.
Physiologiquement, on a besoin de l’autre pour devenir soi-même.
Le doute est un facteur de progrès.