De la vie des autres


Désolée si je te l’ai déjà raconté.
Mon premier roman, Les ruines de la future maison, à 90% autobiographique, racontait ma vie de marginale, désargentée mais riche à mes yeux.
Un ami le fait lire à un ami à lui, journaliste parisien du 7éme.
Son retour n’a pas manqué de piquant « C’est bien écrit, mais quelle vie de merde ! »