A une amie chère et à toutes
De ce que j’en sais
Rien de plus
Quand tu étouffes, ce ne sont pas les raisons qui importent
c’est de prendre l’air
D’abord tu respires, ensuite tu verras
Et si, et quand, tu dois partir, vraiment, tu le sais
Tu n’as pas de doute
Puiser à la source de la force des femmes