Au début, Savitri croyait que tout le monde pouvait parler aux plantes, aux oiseaux et aux animaux, que tout le monde connaissait leur langage. […] C’est seulement lorsqu’elle s’aperçut que les humains ne comprenaient pas le silence qu’elle commença à se servir des mots.
[Sharon Maas in Noces indiennes – Editions J’ai Lu]